Charlie Kirk Shooting Suspect Charged. Something Isn’t Right… | Candace Ep 236

Assassinat de Charlie Kirk : enquête sur une conspiration et pressions politiques

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timestamp: "00:00:03"

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title: "Introduction : Un appel à la vigilance face au mal"

quote: "Ce n'est pas une bataille entre la gauche et la droite... C'est une bataille du mal pur contre la bonté."

details:

L'animatrice ouvre l'épisode dans un état de profonde agitation et de deuil, affirmant que l'assassinat de Charlie Kirk transcende les clivages politiques traditionnels et représente une lutte métaphysique entre le bien et le mal. Elle annonce son intention d'enquêter sans concession sur les circonstances troubles entourant la mort de Kirk, en s'attaquant à la fois à l'enquête criminelle en Utah et aux pressions financières et politiques subies par Kirk de la part de donateurs pro-israéliens influents dans les semaines précédant sa mort. Elle promet de "venir pour tout le monde", indiquant que sa mort n'est que le début d'une révélation plus large.

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timestamp: "00:03:14"

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title: "L'énigme du « Decoy Boy » et les charges troublantes"

quote: "Jamais de ma vie je n'ai vu une situation où une fusillade se produit et puis quelqu'un de complètement unrelated à la fusillade qui vient de se produire saute et dit qu'il l'a fait."

details:

George Zinn, un homme de 71 ans, a été arrêté pour avoir prétendu être le tireur immédiatement après l'assassinat, créant une diversion évidente. Il est désormais inculpé d'entrave à la justice, mais une révélation bien plus sinistre émerge : des images d'abus sexuels sur enfants ont été découvertes sur son téléphone portable. L'animatrice établit un lien entre ce type de comportement déviant et les opérations de chantage de haut niveau, évoquant explicitement le modus operandi de Jeffrey Epstein. Elle souligne que Zinn avait également donné des interviews sur le 11 septembre et Al-Qaïda, brossant le portrait d'un individu complexe et potentiellement manipulé, ce qui jette une ombre de conspiration sur les premiers instants après le meurtre.

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timestamp: "00:06:21"

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title: "Analyse détaillée de l'indictement contre Tyler Robinson"

quote: "Il n'y a rien ici qui implique qu'il avait... démonté le fusil. Cela semble maintenant être complètement retiré du récit."

details:

L'animatrice procède à une analyse méticuleuse et critique du document d'accusation. Elle relève plusieurs incohérences flagrantes, notamment l'absence totale de mention du changement de vêtements signalé par le gouverneur Cox (marron/clair pour la reconnaissance, noir pour l'attaque), un détail pourtant crucial pour établir la préméditation. Le récit officiel d'un Robinson boitant pour dissimuler le fusil dans son pantalon est contesté, l'animatrice faisant référence à des images TMZ qui semblent montrer une démarche normale. Elle note également l'absence étrange de douilles sur les lieux, cohérente avec une arme à verrou, mais souligne le manque de transparence des autorités qui refusent de publier l'intégralité des séquences vidéo. Les cartouches gravées de messages memes ("Hey fascist catch", "Bella chow", "if you read this you are gay") sont présentées comme la preuve du motif, mais leur nature théâtrale est questionnée.

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timestamp: "00:14:36"

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title: "La reddition de Robinson et le récit familial"

quote: "Robinson a impliqué – c'est le mot qu'ils utilisent ici – qu'il était le tireur."

details:

La section détaille le processus de reddition de Tyler Robinson, accompagné de ses parents et d'un ami de la famille, ancien shérif adjoint. Selon l'accusation, la mère de Robinson, ayant vu les images de surveillance, a contacté son fils qui a nié être impliqué, prétendant être malade. Après une conversation tendue avec son père, aux opinions politiques opposées (décrit comme "MAGA diehard"), Robinson aurait implicitement avoué le crime, exprimant des intentions suicidaires et une motivation idéologique : "il y avait trop de mal" et Charlie Kirk "répandait trop de haine". L'animatrice souligne l'utilisation du mot "impliqué" plutôt que "confessé", notant que la reddition fut orchestrée par la famille et non initiée par Robinson lui-même, et qu'il avait déjà jeté les vêtements incriminants.

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timestamp: "00:17:20"

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title: "Le petit ami trans de Robinson : Lance Twigs et les doutes de l'entourage"

quote: "Les gens intimement impliqués dans la situation disent : 'Nous pensions qu'il allait certainement être inculpé'."

details:

L'animatrice introduit un élément central de sa propre enquête : le petit ami et colocataire de Robinson, Lance Twigs. Contrairement au récit médiatique le dépeignant comme un témoin coopératif et innocent, des sources proches de Robinson et même la propre famille de Twigs expriment de profonds doutes. Les camarades de classe de Robinson sont décrits comme "sous le choc", le dépeignant comme une personne "tidie" et réservée, incapable d'avoir agi seul et suggérant un complot plus large. La famille de Twigs le décrit comme un individu instable, radicalisé, avec des problèmes de drogue et d'alcool, et ayant été "deep web". Ils rapportent des allégations de "trafic inhabituel" de voitures avec des plaques d'immatriculation non reconnues devant leur domicile dans la semaine précédant l'attentat, ce qui corrobore les rumeurs de planification collective.

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timestamp: "00:20:08"

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title: "La chaîne de messages incriminante : une mise en scène suspecte"

quote: "Cette chaîne est bizarre pour moi... Ces messages sont clairement trafiqués."

details:

L'animatrice dissèque la chaîne de messages texte présentée dans l'accusation comme une preuve centrale de la culpabilité solitaire de Robinson. Elle relève de multiples incohérences qui, selon elle, indiquent une falsification ou une mise en scène. L'absence totale d'horodatage précis est pointée du doigt comme une omission délibérée pour empêcher un alignement chronologique vérifiable. Le langage utilisé est jugé non naturel pour un jeune de 22 ans ("I had the opportunity... and I'm going to take it"), avec une grammaire et une ponctuation parfaites inhabituelles dans des SMS. Le contenu est paradoxal : Robinson exprime sa volonté de ne laisser aucune preuve, mais décrit ensuite l'intégralité du crime, l'emplacement de l'arme et ses motifs dans une longue série de messages. Sa préoccupation pour expliquer la perte du fusil de son grand-père à son père, plutôt que pour le meurtre lui-même, est dénoncée comme absurde. L'ordre des messages, avec des ellipses suggérant une recomposition, renforce la thèse d'un montage.

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