De la Question Juive - Abbé Rioult

La pensée juive et ses conséquences sur le monde moderne

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title: "Introduction à la mentalité talmudique"

quote: "Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goïmes que pour les cochons."

details:

La conférence s'ouvre sur l'anecdote choquante d'Israël Shaak, témoin du refus d'un juif de porter secours à un non-juif lors du sabbat, justifié par la cour rabbinique de Jérusalem comme conforme à la loi talmudique. Cette introduction sert de fondement à l'analyse des conséquences de la mentalité juive traditionnelle, définie non pas comme une critique des individus mais de la doctrine structurante du judaïsme. L'orateur précise sa méthodologie : utiliser "les juifs" au sens doctrinal, comparable à "les catholiques" pour la doctrine catholique, et suivre la convention d'Israël Shamir en écrivant "juif" avec une minuscule pour souligner l'aspect idéologique plutôt qu'ethnique.

S'ensuit une série de citations extraites du Talmud et d'autres textes sacrés juifs présentés comme illustrant une vision raciale et suprémaciste. Parmi celles-ci : "Les âmes des goïmes proviennent d'esprit impur", "La propriété d'un goï appartient au premier juif qui la réclame", ou encore "Les juifs peuvent mentir et se parjurer si c'est pour tromper ou faire condamner un goï". Ces citations, bien que controversées, sont présentées comme le socle doctrinal justifiant une attitude différenciée envers les non-juifs, ce qui constituera le fil rouge de l'analyse des quatre domaines explorés ensuite : économique, médiatique, politique et théologique.

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title: "L'emprise économique et le règne de Mammon"

quote: "Les financiers juifs sont les rois de Wall Street."

details:

L'analyse économique débute par la parabole d'Israël Shamir mettant en scène trois types de voleurs (Bill le braqueur, Jeff l'escroc et Alfred le spéculateur), illustrant une hiérarchie dans la prédation financière où le bankster (Alfred) suce finalement le fruit du travail des deux autres. Cette allégorie sert à décrire le système financier mondial actuel, dominé par une oligarchie dont les membres sont identifiés comme majoritairement juifs. La vidéo "L'Argent Dette" de Paul Grignon est citée pour expliquer le mécanisme de création monétaire ex nihilo par les banques, permettant à partir de 1000 dollars réels de prêter jusqu'à 40 000 dollars virtuels, asseyant ainsi un pouvoir démesuré sur l'économie réelle.

Des données sociologiques et historiques sont avancées pour étayer cette domination : une étude de l'université de l'Ohio montrerait que la fortune moyenne des juifs américains est trois fois supérieure à la moyenne nationale, et qu'au moins 30% d'entre eux investissent dans des produits spéculatifs à haut risque, contre moins de 1% pour les protestants. L'orateur cite Karl Marx qui, dans "Sur la question juive", décrivait déjà le juif comme "la matrice du capitalisme" et l'argent comme son "dieu jaloux". Des exemples historiques de crises (le Vendredi noir de 1866, le Jeudi noir de 1929, la crise de 2008) sont attribués à des banques dirigées par des juifs (Goldman Sachs, Lehman Brothers).

La criminalité financière de grande envergure est également pointée du doigt, avec des noms comme Michael Milken ou Martin Frankel, responsables d'escroqueries de centaines de milliards de dollars. L'orateur cite l'article de William Pierce qui affirme que si une escroquerie de 100 000 dollars peut être le fait de n'importe qui, une de 100 millions est presque immanquablement l'œuvre d'un juif. Cette mentalité est expliquée par l'état de guerre permanent contre les non-juifs (les goïm) prôné par le Talmud, état d'esprit qui aurait été adopté par des non-juifs "mamonites" assoiffés de profit, rendant le système encore plus prédateur.

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timestamp: "00:20"

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title: "Le contrôle médiatique et la manipulation de l'information"

quote: "Bien que les juifs ne représentent que 2% de la population des États-Unis, près de 50% des milliardaires sont juifs."

details:

Cette section démontre comment la domination économique se double d'un contrôle des moyens de formation de l'opinion. L'orateur commence par évoquer trois faits qu'il estime "quasiment ignorés" du grand public en raison de ce contrôle médiatique : l'identification par un historien israélien d'Enok Yagoda comme le plus grand criminel du XXe siècle (responsable du Goulag), le massacre perpétré par le docteur Baruch Goldstein dans une mosquée d'Hébron en 1994 et son monument commémoratif autorisé par Israël, et le rôle prépondérant des négociants juifs dans l'instauration et le contrôle de la traite négrière à Newport au XVIIIe siècle.

Pour expliquer cette occultation, l'orateur détaille la mainmise supposée des juifs sur les médias. Il cite d'abord un non-juif en 1938 (M. Jouando) qui déplorait déjà que l'argent juif domine la presse, empêchant la publication de tout ce qui lui est hostile. Puis il s'appuie sur des sources juives contemporaines, comme le professeur Benjamin Greenspan, pour affirmer que les directeurs des trois grandes chaînes de télévision américaines, des quatre plus grands studios de cinéma et des principaux groupes de presse sont juifs. Guy Sorman est cité pour son analyse d'Hollywood comme un fief juif, créé par des immigrés d'Europe de l'Est.

Le point le plus frappant est la citation de Simon Epstein, un juif, qui, lors d'une conférence, aurait confirmé l'existence historique d'une organisation secrète juive bien financée qui achetait ou finançait des journaux pour en prendre le contrôle. Israël Shamir en tire la conclusion inquiétante que si des juifs ont pu précipiter la France dans la Première Guerre mondiale via ce contrôle médiatique, le même scénario pourrait se reproduire aujourd'hui avec les États-Unis et une troisième guerre mondiale. Ce pouvoir médiatique est présenté comme l'outil essentiel pour protéger les intérêts de "l'entité supérieure" et diaboliser toute critique sous l'accusation d'antisémitisme, redéfini, selon le docteur Ayom Meyer, comme "quelqu'un qui est détesté par les juifs".

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title: "L'influence politique et la colonisation des États"

quote: "Israël est un membre de l'Union européenne sans être membre de ses institutions."

details:

L'analyse politique établit un lien direct entre la puissance financière et médiatique et l'influence sur la souveraineté des nations. L'orateur constate que les pays ayant manifesté la politique la plus belliqueuse depuis le XIXe siècle (l'Angleterre et les États-Unis) sont aussi ceux qui ont été colonisés par la finance juive. Pour l'Angleterre, il remonte à Cromwell (1657) puis à la Glorieuse Révolution (1689), financées selon lui par des prêteurs juifs d'Amsterdam, menant à la création de la Banque d'Angleterre, un "syndicat d'usuriers".

Pour les États-Unis, le tournant est identifié en 1913 avec la création de la Federal Reserve, un organisme privé dont les fondateurs (Rothschild, Warburg, Lehman, etc.) étaient tous juifs. Le président Wilson, corrompu selon l'orateur, leur aurait livré le pays en leur confiant des postes clés dans l'effort de guerre. Ceci expliquerait pourquoi Israël est souvent considéré comme le "51e état" américain. Le même schéma se serait reproduit en France avec le président Pompidou, ancien directeur de la banque Rothschild, qui aurait permis un phénomène similaire en 1974.

L'emprise s'étend à l'Europe avec la création en 2012 d'un "Parlement juif européen" siégeant à Bruxelles, regroupant 120 députés représentant 47 pays (bien au-delà des 27 de l'UE). La déclaration de Javier Solana, affirmant qu'Israël est un membre de l'UE sans en faire institutionellement partie, est citée comme preuve de cette relation privilégiée. L'orateur lie cette conquête politique à l'affaiblissement de l'Église chrétienne depuis 1789, laissant un vide spirituel que la synagogue, alliée à la franc-maçonnerie, se serait empressée de combler, comme le déplorait le juif converti Joseph Lémann.

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timestamp: "00:41"

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title: "La dimension théologique : une guerre contre le Christ"

quote: "Les juifs sont le poison du déracinement."

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C'est le point le plus fondamental de l'exposé : la racine théologique du conflit. L'orateur affirme que le judaïsme, dans son essence, est une rébellion contre le Christ et, par extension, contre l'humanité non-juive. Cette thèse est étayée par la citation de Simone Weil qui décrit la nation juive comme adorant sa propre race, une idolâtrie qui la rend "le poison du déracinement". Cette auto-idolâtrie, ce sentiment d'être un "être supérieur" (citation du Talmud), est présentée comme la conséquence du rejet du vrai Messie.

L'orateur explique que le judaïsme possède une double doctrine : un visage interne, plutôt vertueux, pour les relations entre juifs, et un visage externe, prédateur, pour les goïm. Ainsi, le commandement "Tu ne tueras point" est interprété dans la pensée talmudique comme "Tu ne tueras point ton prochain [juif]", le non-juif n'étant pas considéré comme un prochain. Ce dualisme explique pourquoi les non-juifs ont du mal à percevoir la "perversion" de la pensée juive, l'interprétant avec leur propre grille de lecture.

Les conséquences de cette théologie sont décrites comme une volonté de "désespiritualiser" et "déraciner" les gentils. Des exemples historiques sont donnés : Léon Blum et son apologie du "vagabondage sexuel", Alfred Naquet et la loi sur le divorce, Simone Veil et la loi sur l'avortement. L'objectif théologique final d'Israël serait la dissolution des nations gentilles et l'élimination de leur Dieu, afin qu'Israël reste l'unique médiateur entre l'humanité et le divin. Cette analyse est corroborée par des citations d'auteurs juifs comme le Dr Avi Becker, qui parle de promotion de la globalisation, et Jacques Maritain, qui évoque un "rôle de subversion" métaphysique pour le peuple juif ayant refusé le Christ.

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