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timestamp: "00:00"
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title: "La prédiction du 11 septembre et ses conséquences"
quote: "Vous avez appelé le 11 septembre en détail. Vous êtes le seul à l'avoir fait. Et nous pouvons le prouver."
details:
La section s'ouvre sur la révélation choquante qu'Alex Jones avait prédit avec précision les attaques du 11 septembre lors d'une émission de télévision datée de juillet 2001. Il avait spécifiquement mentionné que des avions seraient détournés pour s'écraser sur les tours du World Trade Center et que cela serait attribué à Oussama Ben Laden. Cette prédiction détaillée, conservée sur bande et horodatée, constitue un fait incontestable qui demeure largement ignoré par les institutions officielles. Jones explique que cette prévision était le fruit de ses recherches approfondies sur les false flags historiques, comme l'incident du golfe du Tonkin ou l'opération Ajax, et de son analyse de la programmation médiatique qui annonçait déjà la nécessité d'un État policier suite à une future attaque.
L'absence totale d'enquête de la part de la commission du 11 septembre concernant ses connaissances préalables est présentée comme une preuve de la complicité des agences gouvernementales. Jones affirme que certains segments des services de renseignement suivaient et protégeaient les prétendus pirates de l'air, qui avaient été entraînés sur des bases militaires américaines. L'expulsion rapide de la famille Ben Laden après les attaques et la découverte "miraculeuse" de passeports intacts dans les décombres font partie des nombreux points d'interrogation qu'il avait identifiés et qui ont contribué à sa compréhension globale de l'événement.
Cette prédiction précise est identifiée comme le point de rupture qui a déclenché une campagne de persécution de la part du DOJ et du FBI contre lui. Au lieu d'être salué pour sa perspicacité, Jones est devenu la cible d'une machine judiciaire et médiatique visant à le discréditer et à le réduire au silence. L'interview souligne le paradoxe selon lequel une capacité démontrée à anticiper les événements mondiaux majeurs a été punie plutôt que récompensée, ce qui suggère, selon les interlocuteurs, que ses révélations menaçaient des opérations profondes de l'État.
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timestamp: "00:10"
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title: "Programmation prédictive et méthodes d'analyse"
quote: "Pourquoi la CIA serait-elle allée voir Chris Carter et lui aurait dit : 'Nous voulons que vous écriviez cela' ?"
details:
Jones et Carlson explorent le concept troublant de programmation prédictive, en s'appuyant sur l'exemple concret de l'épisode de la série "The Lone Gunmen" (spin-off de X-Files), diffusé des mois avant le 11 septembre. Cet épisode dépeignait un scénario quasi identique : un groupe au sein du gouvernement américain détournait un avion de ligne pour le faire s'écraser sur le World Trade Center et en accuser un terroriste d'Asie centrale, afin de justifier un État policier et des guerres au Moyen-Orient. Jones rapporte que des membres de l'équipe de la série lui ont confié que la CIA était intervenue pour suggérer des éléments du scénario.
Au-delà de la fiction, Jones explique que sa méthode repose sur l'analyse minutieuse des documents et des déclarations publiques des élites globalistes. Il cite des exemples comme le "Projet pour un nouveau siècle américain" de Dick Cheney, qui évoquait le besoin d'un "nouvel Pearl Harbor", ou les simulations de pandémie comme l'Event 201 et SPARS, dont les scénarios ont été suivis presque à la lettre lors de la crise du COVID-19. Il ne s'agit donc pas de deviner l'avenir, mais de lire les plans qui sont ouvertement divulgués dans des documents officiels, des war games et des déclarations d'organisations comme l'ONU ou la Fondation Rockefeller.
Cette section détaille comment la culture populaire et les "fuites" médiatiques servent à préparer psychologiquement le public à accepter des événements futurs. Jones affirme que cette pré-programmation crée une "inconscient collectif" qui rend les chocs plus gérables pour la population et isole ceux, comme lui, qui pointent du doigt ces manipulations. Sa capacité à "prédire" n'est donc pas un don surnaturel, mais le résultat d'un travail d'enquête acharné et d'une lecture cynique des intentions déclarées des architectes du nouvel ordre mondial.
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timestamp: "00:21"
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title: "La bataille spirituelle et l'éveil des consciences"
quote: "Nous sommes en vie en ce moment dans le grand réveil où de plus en plus de gens assemblent les pièces du puzzle."
details:
Jones décrit la période actuelle comme un "grand réveil" et une "révolution spirituelle". Il observe une polarisation croissante de la société, où les individus sont de plus en plus forcés de choisir leur camp entre le bien et le mal, sans possibilité de rester neutres. Il utilise la métaphore biblique des personnes "tièdes" que Dieu "vomit de sa bouche" pour illustrer cette nécessité de s'engager. Cette bataille n'est pas simplement politique ou idéologique, mais fondamentalement spirituelle, opposant une vision transhumaniste et dystopique du monde à une vision basée sur la liberté, la foi et la dignité humaine.
Il témoigne d'un changement personnel profond, abandonnant l'alcool et les mauvaises habitudes pour embrasser la responsabilité qui lui incombe. Il décrit une sérénité et une clarté accrues, qu'il attribue à une connexion plus forte avec Dieu et à une compréhension que combattre le mal est une nécessité pour la préservation de soi, de sa famille et de la civilisation. Il contraste cette paix intérieure avec l'hystérie et la possession démoniaque qu'il dit observer chez ceux qui adhèrent au "culte de la mort" de l'idéologie woke et globaliste.
La discussion souligne que les persécuteurs, bien que puissants en apparence, sont en réalité des êtres tourmentés et malheureux. Jones et Carlson conviennent que des figures comme Larry Fink sont rongées par leur propre malveillance. Combattre le mal sans haine, mais avec amour pour ce que l'on défend, est présenté comme la clé pour briser le lien spirituel négatif avec l'oppresseur. Cette perspective offre un cadre pour comprendre la résilience de Jones face à des années de harcèlement judiciaire et médiatique.
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timestamp: "00:43"
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title: "L'escalade vers la guerre et l'instabilité mondiale"
quote: "Le Pentagone a évalué que si nous donnions certaines armes à l'Ukraine [...] la probabilité d'un échange nucléaire serait de 50%. Et ils l'ont fait quand même."
details:
Cette section se penche sur le danger existentiel que représente l'escalade du conflit en Ukraine. Jones et Carlson révèlent l'évaluation choquante du Pentagone selon laquelle fournir à l'Ukraine des armes capables de frapper le territoire russe entraînerait un risque de 50% d'échange nucléaire. Le fait que cette décision ait été prise malgré cette évaluation est qualifié de folie criminelle, motivée par l'hubris d'une élite globaliste en déliquescence qui croit pouvoir survivre à une guerre nucléaire dans des bunkers souterrains.
L'analyse géopolitique présentée décrit un réalignement mondial. L'ancien ordre globaliste, en alliance avec la Chine, s'effondre, et la Chine elle-même double maintenant ses partenaires occidentaux. Pendant ce temps, une nouvelle alliance internationale de nations (Moyen-Orient, Russie, et d'autres) souhaite se rallier à une Amérie dirigée par Trump, perçue comme un pôle de stabilité et de souveraineté face au chaos généré par les globalistes. L'UE, quant à elle, est décrite comme un projet antidémocratique qui réprime l'opposition politique et tente de précipiter une guerre totale avec la Russie.
La menace d'une guerre avec l'Iran est également abordée comme une poudrière. Jones explique qu'un conflit ouvert avec Téhéran, poussé par des éléments en Israël et aux États-Unis, pourrait facilement dégénérer en un échange nucléaire régional puis mondial, d'autant plus que de nombreux pays possèdent des armes nucléaires non officiellement reconnues. L'accent est mis sur la nature imprévisible et désespérée des actions de l'establishment, qui, se sentant perdant, est prêt à tout pour conserver le contrôle.
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timestamp: "01:10"
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title: "L'opération de destruction judiciaire et médiatique"
quote: "Ils ne veulent pas d'argent pour M. Jones, ils veulent l'arrêter."
details:
Jones détaille l'opération sophistiquée et multifacette menée contre lui pour le réduire au silence. Il commence par expliquer comment son image a été diabolisée après que Donald Trump l'ait cité favorablement en 2016. Une campagne médiatique massive, orchestrée par des firmes de RP et soutenue par le DOJ et le FBI, l'a accusé de harcèlement contre les familles de Sandy Hook, des allégations qu'il nie catégoriquement et pour lesquelles il n'a jamais été inculpé d'un quelconque crime.
Le cœur de l'attaque fut une série de procès truqués au Texas et dans le Connecticut. Jones décrit des juges qui l'ont d'emblée déclaré coupable, ont empêché son équipe de présenter des preuves pour sa défense et ont autorisé la diffusion en direct des procès, transformant ainsi une procédure judiciaire en spectacle médiatique. Les verdicts, d'un montant de 1,5 milliard de dollars, étaient déconnectés de toute réalité financière et avaient pour objectif déclaré de "l'arrêter", et non d'obtenir une compensation.
Les révélations les plus explosives concernent l'implication directe de l'État profond. Jones cite une vidéo sous cape où un agent du FBI/CIA admet avoir monté l'affaire civile après que l'enquête criminelle n'ait rien donné. Il produit des documents montrant que le DOJ a versé plus de 4 millions de dollars aux plaignants de Sandy Hook. Enfin, une demande FOIA a révélé qu'Obama l'avait illégalement classé comme "menace terroriste de niveau 3", déclenchant une enquête d'espionnage de grande envergure contre lui. Cette section se conclut sur la tentative actuelle de faire fermer InfoWars par la saisie de ses actifs, y compris son nom et ses archives, dans le cadre de sa faillite.
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timestamp: "01:47"
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title: "Prévisions de falsification et fin de la liberté d'expression"