ALAIN SORAL FAIT LE BILAN DE L’ACTUALITÉ BRÛLANTE DE LA RENTRÉE ET SA CONDAMNATION ! | GPTV

Condamnations judiciaires et persécution d'Alain Soral

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title: "Condamnations judiciaires et persécution systémique"

quote: "Je suis condamné par la justice française au nom de la République et du peuple français en fait par des gens qui créent des associations de loi 1901 qui au bout de 5 ans font la demande d'être considéré comme d'intérêt général"

details:

Alain Soral explique le mécanisme des condamnations judiciaires qu'il subit depuis 23 ans, mettant en lumière le système des associations communautaires qui se constituent partie civile après avoir été reconnues d'utilité publique. Ces associations, dont la Licra, l'Organisation Juive Européenne et SOS Racisme, utilisent le droit français pour poursuivre ce qu'il qualifie de "délit d'opinion". La condamnation du 11 septembre 2025 illustre parfaitement ce phénomène : 12 mois de prison ferme sans aménagement, 4000€ d'amende et 29 500€ de dommages-intérêts aux associations plaignantes, pour des accusations d'injure publique, provocation à la haine et atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

L'analyse détaillée montre comment ces condamnations s'inscrivent dans un cadre juridique détourné de sa finalité originelle. Soral souligne que les associations qui le poursuivent n'agissent pas dans l'intérêt général mais défendent des intérêts communautaires particuliers. Le concept d'"atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation" est particulièrement ironique selon lui, car il servirait en réalité à protéger les intérêts de ce qu'il appelle "la nation juive" plutôt que ceux de la France. Cette inversion des valeurs serait caractéristique d'un système où la justice devient l'instrument d'une persécution politique et idéologique.

Le contexte géopolitique actuel, notamment le conflit israélo-palestinien, donne une résonance particulière à ces condamnations. Soral établit un parallèle entre sa situation et celle des Palestiniens, voyant dans les deux cas une logique de domination et de persécution systématique. Il rappelle que son engagement pro-palestinien découle d'une analyse selon laquelle les Français subissent un "grand remplacement" similaire à celui vécu par les Palestiniens, où des populations natives sont progressivement remplacées par des colons venus d'ailleurs.

La dimension internationale de cette persécution est également abordée, avec la mention d'un possible mandat Interpol et la crainte que la Suisse, où Soral réside, ne finisse par appliquer les mêmes lois liberticides que la France. Cette perspective montre comment les mécanismes de répression dépassent les frontières nationales et s'inscrivent dans un système global de contrôle de la pensée et de la parole dissidentes.

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title: "Stratégie de résistance et soutien populaire"

quote: "Jamais personne n'a commis aucun crime en mon nom. Mais par contre, il y a une bande de gugus qui prétend eux que je pousse au crime"

details:

Face à ces persécutions, Alain Soral développe une stratégie de résistance fondée sur la démonstration de l'absurdité des accusations. Il relève que malgré vingt-trois années de prédication et des millions d'auditeurs, aucun crime n'a jamais été commis en son nom, ce qui invalide les accusations de provocation au crime. Cette contradiction manifeste entre la réalité et les accusations judiciaires révèlerait le caractère politique et idéologique de ces poursuites plutôt que leur fondement juridique réel.

Le soutien populaire dont bénéficie Soral constitue un autre aspect important de sa résistance. Il décrit des rencontres fortuites avec des supporters en Suisse où des inconnus l'encouragent et le remercient pour son travail. Ce phénomène montre que malgré la diabolisation médiatique, son message continue de rencontrer un écho favorable dans certaines franges de la population. Ce soutien transcenderait les clivages traditionnels, attirant même des personnes qui ne partagent pas nécessairement toutes ses opinions mais qui reconnaissent le caractère excessif de la répression judiciaire.

La question du "délit d'opinion" est centrale dans cette analyse. Soral insiste sur le fait que ses condamnations ne reposent sur aucun acte concret mais sur des interprétations tendancieuses de ses propos. Il mentionne notamment l'exemple d'une citation tronquée où on lui attribuerait un appel à prendre les armes, alors que son message réel serait exactement inverse. Cette manipulation des preuves et des citations caractériserait selon lui les méthodes employées par ses adversaires pour le criminaliser.

La dimension philosophique et presque existentielle de ce combat est également abordée. Soral présente sa résistance comme un sacrifice nécessaire pour révéler les mécanismes de domination à l'œuvre. En acceptant de subir ces persécutions, il deviendrait un miroir qui reflète la véritable nature du pouvoir et ses méthodes de contrôle. Cette posture du martyr politique s'inscrirait dans une tradition de résistance à l'oppression où la souffrance individuelle sert à éveiller les consciences collectives.

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title: "L'assassinat de Charlie Kirk et la guerre culturelle américaine"

quote: "Kirk était en train de virer de bord sur la question juive et il est mort"

details:

L'assassinat de Charlie Kirk, leader de la jeunesse trumpiste, représente un événement majeur dans la guerre culturelle qui déchire les États-Unis. Soral analyse cet événement non comme un simple fait divers mais comme un épisode significatif dans la lutte pour le contrôle de l'avenir politique américain. Kirk incarnait selon lui la possibilité d'une droite patriote et sociale qui pourrait rompre avec le néoconservatisme sioniste dominant, ce qui en faisait une cible pour les forces qu'il gênait.

La transformation idéologique de Kirk est présentée comme la cause profonde de son assassinat. Initialement proche des évangéliques sionistes, il aurait progressivement évolué vers une critique de l'influence juive sur la politique américaine, notamment en connection avec l'affaire Epstein. Cette remise en question de dogmes établis aurait représenté une menace trop importante pour certains intérêts, conduisant à son élimination physique. Soral voit dans cette évolution le signe d'une prise de conscience plus large au sein de la droite américaine.

L'analyse de la scène du crime et des circonstances de l'assassinat suggère une opération sophistiquée plutôt qu'un acte isolé. Soral établit des parallèles avec l'assassinat des Kennedy, évoquant la possibilité de tireurs multiples et de manipulations visant à orienter l'enquête vers un coupable idéologique commode. La rapidité avec laquelle un suspect de gauche a été identifié et la présence d'éléments étranges (comme un avion appartenant à un cadre loubavitch éteignant son transpondeur) alimentent les suspicions d'une opération sous fausse bannière.

Les réactions politiques et médiatiques à cet assassinat sont également décryptées comme faisant partie d'une stratégie de manipulation. La diabolisation de la gauche et la récupération du meurtre par des figures comme Ben Shapiro serviraient à détourner l'attention des véritables enjeux et à maintenir le clivage gauche-droite traditionnel, alors que le combat réel opposerait selon Soral une droite patriote-sociale à une droite mondialiste-antisociale.

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timestamp: "00:41:09"

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title: "La transformation du paysage politique occidental"

quote: "Le combat politique n'est pas entre la gauche et la droite mais entre deux droites"

details:

Soral développe une analyse originale de l'évolution du paysage politique occidental, affirmant que le clivage traditionnel gauche-droite aurait perdu sa pertinence. À sa place émergerait un nouveau conflit entre une droite patriote et sociale d'une part, et une droite mondialiste et antisociale d'autre part. Cette transformation refléterait l'échec historique de la gauche, qui aurait trahi ses idéaux sociaux au profit d'un sociétalisme libertaire au service du capital.

La gauche traditionnelle serait selon lui "morte" car ayant abandonné le terrain social pour se focaliser sur des questions identitaires et sociétales (LGBT, antiracisme, etc.). Cette évolution l'aurait transformée en simple appendice du libéralisme mondialiste, incapable de proposer une alternative crédible au système en place. Le gauchisme contemporain ne serait ainsi qu'un "cadavre" idéologique manipulé par des forces qui le dépassent.

La véritable opposition se situerait donc au sein même de la droite, entre les partisans d'une nation souveraine et sociale et les adeptes d'un mondialisme antisocial. Cette analyse s'appuie sur l'exemple américain où des figures comme Trump, Musk ou Thiel incarneraient cette nouvelle droite patriote en opposition à l'establishment néoconservateur. En France, cette dynamique serait encore embryonnaire mais suivrait la même logique fondamentale.

Cette reconfiguration politique s'inscrirait dans un contexte plus large de déclin de l'empire américain et d'émergence d'un monde multipolaire. La question juive jouerait un rôle central dans cette analyse, Soral estimant que la puissance sioniste représenterait l'obstacle principal à l'avènement de cet nouvel équilibre mondial. La résolution de ce conflit politique passerait donc par une clarification des rapports avec l'influence juive et sioniste.

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timestamp: "01:04:23"

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title: "Soros, le sionisme et les pièges idéologiques"

quote: "Le vrai piège est de dire qu'il faut marcher avec Netanyahou pour lutter contre Soros"