🇺🇸👁️Palantir, Pfizer et l’Opération Warp Speed : l’ombre de l’IA derrière la guerre et le COVID

Palantir : L'émergence d'un panoptique numérique et ses implications géopolitiques

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title: "La nature et la portée de Palantir : Un empire de surveillance privatisé"

quote: "Officiellement, Palantir développe des logiciels d'analyse de données. Officieusement, c'est une extension privatisée du renseignement américain."

details:

Palantir est présentée comme une entité bien réelle, née dans la Silicon Valley et financée initialement par la CIA via In-Q-Tel, son bras financier. Loin d'être une fiction, elle opère comme une extension privatisée et quasi-officielle du complexe militaro-industriel et du renseignement américains. Ses deux logiciels principaux, Gotham et Foundry, sont déployés respectivement au sein des agences de sécurité et dans les administrations, les entreprises et les armées à travers le monde. Leur fonction est de servir de loupe géante, un système centralisateur qui agrège, consolide et recoupe la totalité des informations disponibles, des données médicales aux transactions bancaires, en passant par la géolocalisation par satellite et l'activité sur les réseaux sociaux. Cette capacité de collecte et d'analyse est démesurée et, critique majeure, elle évolue dans un vide juridique et démocratique absolu, sans aucun contrepouvoir pour en réguler l'usage.

Cette puissance technologique est déjà opérationnelle sur des théâtres de conflit, alimentant des systèmes d'intelligence artificielle militaire comme Lavander, utilisé à Gaza, ou Maven, déployé mondialement. Le contenu souligne de manière frappante que l'IA décide ainsi de questions de vie ou de mort, ciblant des individus pour des frappes de drones. Des activistes à Washington auraient dénoncé cette implication, accusant Palantir d'avoir "du sang sur les mains", notamment celui de dizaines de milliers d'enfants palestiniens, qualifiant son action de participation à un génocide. Cette application militaire n'est que la face la plus visible d'un projet bien plus vaste de contrôle social et sanitaire, dont la gestion de la crise Covid n'a été qu'un prototype.

La plateforme Tiber, développée par Palantir, est au cœur de cette logique de contrôle. Son nom, lourd de symbolique puisqu'il fait référence à l'empereur romain Tibère sous lequel Jésus fut crucifié, a servi de colonne vertébrale numérique à l'opération Warp Speed. Elle a permis un suivi en temps réel et absolu de chaque flacon de vaccin et de chaque injection administrée, transformant la campagne sanitaire en une répétition générale pour un futur système d'identité numérique universelle. Cette base centralisée est présentée comme le prototype d'un avenir où un score numérique déterminera qui peut acheter, vendre, voyager ou obéir, préfigurant une forme de persécution numérique à la "rigueur biblique".

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title: "L'Opération Warp Speed : Révélation forcée et échec d'un agenda de contrôle"

quote: "En voulant précipiter la sortie des vaccins, Trump a volontairement ou non mis à jour le vrai visage de Big Pharma."

details:

L'analyse propose une lecture paradoxale et stratégique de l'opération Warp Speed. Alors qu'elle est officiellement un programme logistique de distribution rapide de vaccins, elle est décryptée comme une manœuvre ayant involontairement court-circuité le plan initial des laboratoires pharmaceutiques et de leurs alliés. Selon cette thèse, l'agenda initial de certains acteurs (souvent désignés par des périphrases comme "ceux qui avaient utilisé le Covid") était de maintenir les populations dans un cycle interminable de confinements, de peur et de dépendance, en attendant un vaccin déployé lentement et sous contrôle. Warp Speed, par sa rapidité extrême, a précipité ce processus et a forcé les laboratoires comme Pfizer et Moderna à dévoiler leurs cartes bien plus tôt que prévu.

Cette précipitation a eu pour effet de mettre en lumière, à une échelle mondiale et de manière accélérée, les mécanismes de la "manipulation". La pression médiatique, l'opacité des contrats, la dissimulation des effets secondaires et la logistique globale de ce qui est qualifié de "grand théâtre sanitaire" ont été exposées au grand public. Un processus qui devait s'étaler sur une décennie s'est ainsi effondré en quelques mois, révélant au monde le "vrai visage de Big Pharma". En forçant la machine à s'emballer, Warp Speed a exposé ses failles et, in fine, le projet sous-jacent de contrôle, transformant ce qui était censé être une victoire pour les tenants de ce système en un fiasco stratégique.

Le rôle de Palantir, via Tiber, est crucial dans cette analyse. En permettant un contrôle si absolu de la donnée vaccinale, l'entreprise n'a pas seulement fourni un outil logistique ; elle a été l'architecte de la plateforme de surveillance qui sous-tendait le déploiement. Cela positionne Palantir non comme un simple prestataire technique, mais comme un acteur central dans la transformation de la santé en un "champ de bataille numérique", profitant de l'opacité sans précédent qui a entouré l'opération et qui a profité aux laboratoires. La demande actuelle de Donald Trump pour la publication des données sur les effets secondaires est présentée comme l'épilogue logique de cette révélation forcée.

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title: "L'emprise géopolitique et la dimension spirituelle du contrôle par les données"

quote: "Palantir n'est pas seulement une entreprise, c'est le panoptique du 21e siècle. C'est l'œil qui voit tout, qui enregistre tout, qui punit tout."

details:

L'influence de Palantir s'étend bien au-delà du domaine sanitaire pour pénétrer le cœur de la géopolitique contemporaine, notamment le conflit ukrainien. Dès 2022, le gouvernement de Volodymyr Zelensky est décrit comme étant devenu entièrement dépendant des logiciels de Palantir pour gérer tous les aspects de l'État : images satellites, drones, finances, éducation et même lutte contre la corruption. Cette dépendance confère à une société privée américaine un accès à la totalité des données sensibles de l'Ukraine, la transformant en un "état dans l'état". Cette position lui donne une puissance politique considérable, détenant des informations potentiellement explosives sur la corruption, le détournement de l'aide américaine ou le recrutement forcé.

La connexion supposée entre Palantir et Jeffrey Epstein ajoute une couche sinistre à cette architecture de pouvoir. Les rumeurs persistantes d'un lien entre Epstein et Palantir suggèrent que le logiciel aurait pu être l'arme ultime de chantage entre les mains du criminel, lui permettant de recenser les déplacements, les réseaux et les failles des élites mondiales. Cette imbrication dessine les contours d'une architecture mondiale de surveillance et de domination où tout est lié : guerres, vaccins, commerce, censure et propagande. Le citoyen n'y est plus qu'une "donnée brute", un flux d'information à calculer et à exploiter.

La conclusion porte une dimension métaphysique et spirituelle. L'empire numérique construit par Palantir et ses partenaires est comparé aux prophéties anciennes, évoquant une "bête de données", un système totalitaire où nul ne peut acheter ni vendre sans son assentiment (une référence directe à l'Apocalypse biblique). La question finale posée est donc fondamentalement spirituelle : serons-nous les esclaves dociles de cette matrice ou les témoins debout d'un monde qui refuse de se laisser avaler par la machine ? Le contenu suggère que l'émergence actuelle de ces vérités n'est pas un hasard mais le fruit d'un long travail de préparation des consciences, peut-être via des mouvements culturels cryptés, ayant habitué le public à douter et à enquêter, le préparant ainsi à "faire face à la monstruosité réelle".

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