Becoming Brigitte: MK Ultra And The French Gold Rush.

L'enquête sur Brigitte Macron et l'expérience de Stanford

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timestamp: "00:00"

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title: "Introduction et anomalies comportementales de Brigitte Macron"

quote: "Breijit Mcronone does not walk right. She doesn't walk right. There's a lot that can be discerned from someone's gate."

details:

L'épisode s'ouvre sur l'annonce de l'effondrement du gouvernement français, présenté comme une diversion pour détourner l'attention de l'enquête sur Brigitte Macron. L'animateur souligne que les décisions politiques importantes sont prises dans des salles de conseil, non par des processus démocratiques visibles. Cette introduction établit le ton pour une investigation qui remet en question les récits officiels et suggère des manipulations à haut niveau.

L'analyse se concentre immédiatement sur des anomalies dans le comportement physique de Brigitte Macron. L'animateur présente des vidéos au ralenti de sa démarche, notant une allure étrangement masculine et militaire qui ne correspond pas aux mouvements typiquement féminins. Cette observation est renforcée par une scène où Brigitte est assise avec les jambes largement écartées, une posture décrite comme inhabituelle pour une femme. Ces détails sont présentés comme des preuves circonstancielles soutenant la théorie principale.

La théorie avancée est que Brigitte Macron serait en réalité son frère présumé, Jean-Michel Trogneux, ayant assumé son identité. Cette affirmation s'appuie sur le dossier militaire secret de Jean-Michel et son poste de sergent en Allemagne, suggérant un passé militaire qui pourrait expliquer la démarche observée. L'animateur fait le lien entre cette théorie et le refus des autorités de divulguer le dossier militaire, présenté comme une tentative délibérée d'étouffer la vérité.

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timestamp: "03:24"

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title: "Les disparitions de Jean-Michel Trogneux et le livre de Xavier Bousard"

quote: "Therefore we can conclude that Jean Michichelle Trognau has been living under the civil birth identity of his sister Rajit Trognau since at least 1986."

details:

L'investigation retrace la jeunesse de Jean-Michel Trogneux grâce au livre "Becoming Breijgit" de Xavier Bousard. Des photos scolaires de 1953 à 1955 le montrent à Amiens, mais les documents révèlent une absence inexplicable du système éducatif entre 15 et 17 ans. Il n'obtient aucun diplôme, pas même le BEPC, et accumule les absences, soulevant la question cruciale de son lieu de résidence et de ses activités durant cette période.

La période de 1968 à 1973 est particulièrement mystérieuse. Brigitte Macron a toujours affirmé avoir regardé l'alunissage américain de 1969 depuis les États-Unis. Cette déclaration, combinée à l'absence de traces en France, conduit à la conclusion que Jean-Michel Trogneux a vécu aux États-Unis durant ces cinq années. Cette révélation est présentée comme la clé expliquant la panique de l'Élysée et leur volonté de contenir l'enquête en France.

L'animateur souligne l'étrange immunité de Xavier Bousard face à des poursuites en diffamation, contrairement à d'autres journalistes. Ce fait est interprété comme un indice que les informations de Bousard sont exactes et que les Macron évitent un procès qui pourrait mener à une discovery légale et exposer davantage de preuves. La décision de poursuivre aux États-Unis est présentée comme une erreur de panique qui ouvre la porte à des subpoenas américains.

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timestamp: "06:25"

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title: "Les connexions militaires et le programme MK Ultra"

quote: "MK Ultra, MK Ultra, MK Ultra... dogs do not bark unless they perceive a threat."

details:

L'enquête découvre un Jean Marie Trogneux (potentiellement le père) sur un navire en 1961, voyageant de France au Canada puis à Oakland, en Californie. Le navire transportait un aimant de 8 000 livres, décrit par l'époux de l'animateur comme étant de "qualité militaire". Cette découverte accidentelle est liée à un procès de l'époque qui a préservé les détails de la cargaison.

L'aimant est directement connecté au programme MK Ultra de la CIA, en plein essor dans les années 1960. Le Sub Project 119, dirigé par des docteurs de l'UCLA, explorait l'utilisation d'électro-aimants pour manipuler les ondes cérébrales et contrôler l'esprit. Stanford University poursuivait des recherches similaires au début des années 1970, créant un lien géographique et thématique fort avec la période où Jean-Michel Trogneux était présumé être aux États-Unis.

La figure centrale de MK Ultra, le Dr. Jolly West, arrive à Stanford en 1966. Ce timing est crucial car il place les activités de MK Ultra à Stanford précisément lorsque Jean-Michel Trogneux aurait pu y être impliqué. L'animateur présente cela comme la raison pour laquelle l'Élysée panique face à une enquête américaine : les preuves potentielles de l'implication de Trogneux dans ces programmes dérangés se trouvent aux États-Unis, hors de portée du contrôle français.

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timestamp: "13:01"

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title: "L'expérience de Stanford et sa réécriture historique"

quote: "Our goal back in 1971 was to study the behavioral and psychological consequences of becoming a prisoner or prison guard."

details:

L'expérience de la prison de Stanford (1971) est présentée non comme une étude psychologique légitime, mais comme une opération militaire déguisée. Financée par l'US Office of Naval Research, son but était de justifier psychologiquement les atrocités de l'Holocauste et les abus futurs (comme Abu Ghraib) en "prouvant" que n'importe qui peut devenir un monstre sous certaines conditions. Philip Zimbardo lui-même qualifie l'expérience de "drame".

Une analyse détaillée des "prisonniers" révèle qu'ils n'étaient pas de simples étudiants de classe moyenne, mais des individus soigneusement sélectionnés avec d'importantes connexions militaires et industrielles. Leurs pères étaient ingénieurs à la NASA, capitaines de la Navy, directeurs de sociétés comme Halliburton et Standard Oil. Cette composition suggère une expérience contrôlée par des intérêts spécifiques, non une sélection aléatoire.

La théorie avancée est que l'expérience servait de couverture à autre chose. Le timing (1971) coïncide avec le rapatriement secret de l'or français par le président Pompidou, après la chute de Charles de Gaulle qui s'opposait au système de la Fed. La présence d'un descendant Rothschild (le garde Chuck Burton) parmi les participants renforce l'idée d'un lien avec la finance et l'or, intérêts traditionnels des Rothschild.

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timestamp: "16:03"

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title: "Prisonnier 2093 : Le mystérieux "Sarge""

quote: "I feel like someone's trying to put on an American accent."

details:

Le prisonnier 2093, surnommé "The Sarge", est identifié comme la figure clé de l'expérience. Son apparence physique (1,58 m) correspond à la taille de Brigitte Macron, en tenant compte de la réduction de taille masculine avec l'âge. Son discours est analysé comme étant étrangement formel et non américain, avec une difficulté perceptible à prononcer les "R", trahissant un accent étranger.

Une analyse transcriptionnelle de son interview de sortie révèle un langage bizarre et détaché, centré sur le concept de "rôle" plutôt que de soi. Il déclare : "Je crois que la vie dépend vraiment du rôle que vous jouez" et "je pourrais changer pour presque n'importe quel rôle". Ce discours est contrasté avec les interviews plus décontractées et naturelles des autres prisonniers, soulignant son artificialité.

Les recherches dans les archives de Stanford révèlent de multiples anomalies autour de ce prisonnier : sa signature sur les décharges médias est témoignée uniquement par Zimbardo (un conflit d'intérêt), son uniforme est manquant, son adresse est listée comme étant la bibliothèque universitaire (introuvable), et le visiteur qui lui rend visite est un mystérieux "Warren Feras", un nom qui n'apparaît dans aucun registre. Ces irrégularités suggèrent une fabrication complète de son identité.

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timestamp: "19:17"

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title: "La mole, la protection et les coïncidences troublantes"